Les origines de Faries

Une histoire derrière mon histoire :

Il était une fois, dans les années cinquante, deux sœurs de 8 et 10 ans, qui furent infectées par une maladie contagieuse s’attaquant au cuir chevelu. Elles vivaient dans un village de campagne et avaient été contaminées comme les autres enfants de la région.

Un jour, une des deux sœurs, elle portait toujours des longues nattes, vit tomber au sol toute sa belle chevelure alors qu’elle était assise en classe et écoutait sa leçon. Abasourdie, elle ramena ses tresses à la maison. Sa maman tomba dans les affres de douleur et de désespoir et se confia aux remèdes très couteux de la médecine conventionnelle de l’époque.

Sous les conseils de médecins spécialistes, la famille sacrifia sa fortune pour un traitement expérimental, un traitement aux rayons X. Ces derniers rendirent durablement les deux sœurs chauves. Pendant que les autres enfants, touchés par cette même infection, se firent soigner par les plantes et la médecine naturelle.

L’histoire veut que tous les enfants virent leurs cheveux repousser alors que les deux fillettes restèrent chauves. Ce malheur marqua la destinée de ces deux soeurs. Je nomme ici, ma mère et ma tante…
Mais l’histoire ne se termine pas ainsi. Soixante ans plus tard, elles ont toutes deux développé des méningiomes. Elles ont perdu leur mobilité et la parole de manière subite.

Ma tante a récemment subit deux interventions neurochirurgicales. Elle a choisi son médecin touchée par l’empathie que ce dernier lui a démontrée en écoutant son histoire. Ce neurochirurgien a réparé, dans la mesure de son possible, les dégâts des expérimentations médicales opérées par ses paires un demi-siècle plus tôt.

Faries nait pour rendre hommage à ces médecins réparateurs et pour éveiller leurs collègues à des approches plus prévoyantes, plus globales et intégratives du soin et de la prise en charge du patient.

valentina portrait

Les origines de Faries

La méthode FARIES s’inscrit dans l’histoire des méthodes de gestion de la fertilité au naturel, depuis la deuxième moitié du siècle passé à nos jours. Faries représente, à l’aube du 3e millénaire, l’aboutissement de 30 ans de recherches autour de l’observation des indices corporels, émotionnels, psychiques et spirituels qui gravitent autour de la vie d’un être humain.

La naissance de Faries arrive un siècle après qu’un curé de campagne, l’Allemand Wilhelm Hillebrand, eu l’idée de mettre l’observation de la température au service de la régulation des naissances, en 1929.
Depuis nombreuses ont été les tentatives de faire rentrer la « Régulation Naturelle des Naissances (RNN) » dans les mœurs de la pratique médicale gynécologique et dans la culture populaire. D’ailleurs les églises s’en sont mêlées dans une volonté d’influencer la vie sexuelle des croyants. 

Il est intéressant de remarquer que la plupart des médecins chercheurs en RNN venaient de milieux ecclésiastiques et affichaient ouvertement leurs croyances judéo-chrétiennes.
Ceci est le cas notamment du médecin généraliste autrichien, le Dr. Josef Rötzer, père fondateur de la méthode sympto-thermique, avec son premier livre d’application pratique, paru en 1965.

De Valentina à Faries

Le matin de noël 1995 je reçus mes premières lunes en cadeau. J’avais 13 ans et demi et je vivais dans un village de campagne dans les Pouilles. L’environnement familial était ordinaire mais dysfonctionnel. Ma mère avait opté pour le rejet total de son corps. Venant d’une famille de paysan, elle avait misé sur son émancipation en passant par des études universitaires en psychopédagogie. Elle étudia tout en aidant ses parents à la ferme. Elle fut parmi les seules femmes du sud de l’Italie à avoir réussi une licence universitaire en 1973. Une région encore fortement catholique et conservatrice à cette époque. En 1978 elle commenca à pratiquer le yoga avec mon père. Revenant de voyages, dans ce même contexte, il continuait sa pratique de yoga découverte durant ses voyages aux Indes. Dès l’enfance, j’ai appris à dialoguer avec mon corps et ses cycles pour me maintenir en santé et vitalité. La relation parentale se développa au travers de grands obstacles culturels et l’incompatibilité caractérielle de ces deux personnages atypiques me fut destructrice. Je trouvais refuge dans mon corps et mon esprit. Ainsi que dans l’observation du ciel et ses cycles astronomiques. Étudier a toujours été ma plus grande passion. La recherche autour du vivant, ma source de jouvence. C'est ainsi que je trouvai mon dada dans l’étude de mes cycles, en relation avec « les astrologies ». Je suivais notamment la lune pour faire pousser mes cheveux.
Ma facilité pour les langues me permit de lire rapidement en français et en anglais. J’étais encore adolescente, que déjà, je cherchais à comprendre la Méthode Rötzer dans son édition française : Nouvelle Cité assurée par Christine Bourgeois (1999). Quelques années plus tard je réussis à trouver un thermomètre pour me guider dans la reconnaissance de mon ovulation. Un des premiers appareils destinés à cette fonction : le Bioself. Étant extrêmement déterminée et précise, le dialogue avec mon corps et mes cycles m’avaient fait remarquer l’inefficacité de cet appareil. La confiance en mes observations me permit de valider la méthode Rötzer par mes interprétations. C'est ainsi, que dès ma première relation sexuelle dans ma vingtième année, j’étais déjà experte de ma contraception. En 2005, quand j’arrivai en Suisse, comme tout immigré italien, j’avais une seule valise. Pas une valise en carton, mais une valise rouge. Une valise rouge remplie de livres. Mes livres les plus précieux.. Dont celui de Rötzer. Je me suis installée dans la commune d’Ecublens dans l'ouest lausannois. Christine Bourgeois habitait à Lully,. C’était marqué dans le livre. À 10 min de chez moi à vélo.
Le jour où j'ai pris le chemin de Lully, j’ai su pourquoi mes parents avaient été aussi indigestes et pourquoi j’avais autant voyagé à l’intérieur de moi. Christine avait créé une fondation: la Fondation Symptotherm. Et elle avait transmis tout son savoir à son compagnon de l’époque, le Dr. Harri Wettstein. Harri aimait se qualifier de Newton du cycle féminin parce qu'il avait eu le coup de génie de rassembler toutes les méthodes symthothermiques dans une application nommée Sympto.
J’avais à peine 25 ans mais j’étais en mesure de comprendre dans le détail les connaissances que ce couple avait réunies et intégrées. Je réalisais aussi la charge de travail titanesque que cela avait demandé. Sympto, sortie en 2001, était la première application pour la gestion de la fertilité. Elle permettait, en quelques clicks, d'appliquer ce que j’avais appris sur une décennie en auto-didacte. Je suis tombée amoureuse du projet de la Fondation Symptotherm pour en assumer la présidence pendant quelque temps.
Deux évènements me firent prendre conscience de ma propre découverte. Un jour, nous avons eu des soucis avec l’application informatique. Les femmes que je pensais avoir rendu indépendantes n’étaient pas capables de repérer de manière fiable leurs ovulations sans le support informatique. Et pire encore, elles n’avaient pas saisi la profondeur du message de leurs cycles. Ce que j’appelle aujourd’hui la « Légende personnelle », son « Aventure Héroïque ». Puis, on me fit remarquer, alors que j’enseignais dans le cadre de la Fondation Symptotherm, que je m’éloignais de la méthode puisque je n’utilisais plus le thermomètre pour suivre le cycle de fertilité mais favorisais la palpation du col de l’utérus. En effet, j’enseignais aux femmes comment suivre les mouvements du col de l’utérus. Cette observation réduisait considérablement la fenêtre de sécurité contraceptive et instaurait le dialogue avec la source. Je réalisais l’ampleur de ma découverte. En cherchant les Indes, j’avais trouvé l’Amérique. Ou l’inverse…
Le Dr Wettstein appelait la symptothermie le Davinci Code de la Femme.
Le mot symptothermie dépasse le vocabulaire Rötzer et appartient à la Fondation Symptotherm. Il est à reconduire à la sage-femme française Claire Michelin lors d’un évènement organisé par la Fondation.
Et c’est ainsi, qu’à mon tour, par l’étude des techniques existantes et par les observations de mes propres cycles, je découvrais une nouvelle façon, encore plus précise et fiable, de suivre le cycle de fertilité.
Le problème informatique fut donc le moteur pour trouver une solution pour les milliers de femmes que j’avais suivies sur le backoffice de l'application Sympto. Je devais rendre une femme pleinement autonome et libre sans internet, ni de téléphone portable pour télécharger une application ou si elle n'avait pas thermomètre, sans feuilles de notes. Je modélisai alors ma pratique pour en faire une méthode pédagogique et didactique. Faries est la suite du code Sympto. Faries permet d’apprendre relativement rapidement à toute femme à être pleinement dans sa puissance et à rayonner chaleureusement sa féminité. Faries me permet de vivre mon aventure héroique. C'est ainsi que The Faries Method vit le jour.

Les Origines de FARIES présentées par sa Mère-Veilleuse Valentina
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Si mes rêves ne peuvent pas devenir réalité, ce ne sont pas mes rêves. Si la réalité ne me fait pas rêver, ce n'est pas la mienne.